J’adore le télétravail. Ne pas avoir à se déplacer matin et soir, ne pas se soucier de son habillement, travailler tard si on le désire ou profiter d’un après-midi ensoleillé pour faire l’école buissonnière.
Malheureusement si le télétravail s’adapte bien aux grosses tâches de secrétariat, il est plus difficile à balancer pour les petites tâches journalières. Alors voilà, pour combler mes besoins financiers avant que les vivres ne me soient totalement coupés, j’entre dans le merveilleux monde du remplacement. Un peu plus instable, mais aussi plus payant, je commence dès lundi à l’UQAM. Je conserve tout de même quelques contrats pour mon présent patron, question d’arrondir mes fins de mois et aussi de me faire de l’expérience dans le domaine du « contractuel ».